Atacamite
L’atacamite est décrite initialement dans un mémoire de l’Académie Royale des Sciences, Examen d’un sable vert cuivreux du Pérou, par le duc de la Rochefoucault, Baumé et de Fourcroy en 1786. C’est la description faite par Dimitri Alexeïevitch Galitzine en 1801 qui fait référence et qui donne son nom à ce minéral ; le nom est inspiré du topotype. L’atacamite est présente dans la nature sous la couleur turquoise foncé. Ses gisements principaux se trouvent aux Etats-Unis, en Australie, au Chili,…
Formule chimique : Cu2Cl(OH)3 – Densité : 3,8 – Échelle de Mohs : 3 – 3,5
En lithothérapie : purifie les reins, écarte la peur, favorise l’élimination sur tous les plans. On peut l’utiliser pour traiter les organes génitaux, censé améliorer la résistance aux herpès et aux maladies vénériennes. Placé sur la gorge, l’atacamite soigne la thyroïde, ouvrant le chakra de la gorge et éliminant les blocages à l’expression personnelle suscités par l’hypothyroïdisme. Grâce à sa couleur verte apaisante, bénéficie au système nerveux.