Larimar
Le larimar, ou encore roche de l’Atlantis, fait partie des pectolites les plus recherchés dans le monde. Elle est remarquée à l’état brut pour la première fois en 1916, en République dominicaine, par le Père Domingo Fuertes Lorén. Celui-ci proposa sans succès l’exploitation de la mine qui la contenait. Élément aux milles vertus thérapeutiques, elle est la résultante de phénomènes volcaniques longs et complexes. C’est un habitant du village Chupaderos, du nom de Miguel Méndez qui, à la recherche de la mine, fut émerveillé devant la beauté et le reflet d’une magnifique pierre qui se trouvait au fond d’une rivière. Il la baptisa ainsi. La beauté de sa fille (Larissa) et les bienfaits de la thalassothérapie se retrouvent dans une seule pierre. Sa coloration varie du blanc au bleu foncé en passant par différentes teintes de bleu. Son gisements principal se trouve en République dominicaine.
Formule chimique : Ca2NaH(Si3O9) – Densité : 2,62 – 2,90 – Échelle de Mohs : 4,5 – 5
En lithothérapie : Positionné sur le coeur, le troisième oeil ou le plexus solaire, de même que passé en douceur sur tout le corps, le larimar élimine les entités attachées. Stimule le chakra couronne, le chakra du troisième oeil, le chakra du coeur et le chakra de la gorge, favorise l’auto-guérison. Particulièrement utile pour les cartilage, les affections de la gorge, la dissipation des blocages énergétiques dans la poitrine, la tête et le cou. On peut aussi le placer sur les articulations bloquées ou les artères rétrécies. Placé sur un endroit douloureux, élimine en douceur la souffrance. En tant qu’outil de réflexologie, identifie l’endroit du mal-être et purifie les méridiens du corps.
Pour en savoir plus cette magnifique pierre, lisez aussi notre article : Pierre : Larimar
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